Presse
Frédéric Naud en solo
Frédéric Naud n’a pas son pareil pour faire exister sans insister. Dans son univers imaginaire, les personnages encombrants gravissent des escaliers si haut, si haut… qu’ils finissent par disparaître de l’histoire.
Sud Ouest
Pendant plus d’une heure, il a réussi à tenir petits et grands en haleine, avec de merveilleuses histoires … Une belle soirée !
La Dépêche du Midi
Frédéric Naud nous ramène à la vie en posant les interrogations du quotidien, qui sont pour lui source de narration, il embellit les personnages, les transcendent avec finesse.
Le Petit Journal
Jeanne Videau joue magnifiquement bien la fragilité de la maladie et son regard presque comique par moment crée un décalage rassurant face à la teneur du propos. Cela fait un superbe contrepoint à la narration, dense et riche en informations, portée de manière très juste par Frédéric Naud.
VivantMag
Frédéric Naud nous entraîne ici dans un univers poétique qui oscille entre hyperréalisme et fantastique, un chassé-croisé qui fait tourner la tête et basculer le cœur.
VivantMag
Superbement porté par les deux comédiens, ce conte propose différents tableaux qui se croisent, des flash-backs émouvants teintés dh’humour sur la naissance de Jill et Marcel.
Midi Libre
(…)
La Grande Oreille
Avec Jeanne Videau en duo
Frédéric Naud et Jeanne Videau interprètent avec chaleur et fougue leurs multiples personnages. Tous deux leur donnent une vivacité ludique et une sincérité simple et efficace. On est pris dans ce remue-méninge comme dans une gigue un peu folle dont on sort la pensée chamboulée, le sourire aux lèvres et le ravissement d’avoir passé un très bon moment de théâtre.
Spectatif
On en redemande tant ces fous de théâtre ou ces théâtreux fous, comme on veut, nous en mettent plein la vue – excellente mise en scène borderline de Marie-Charlotte Biais – et plein la tête avec un spectacle qu’il est permis d’aimer à la folie.
L’Art vues – Art Montpellier
Soulignons aussi la qualité et la richesse du travail d’écriture et de mise en scène réalisé par Frédéric Naud et toute son équipe, en particulier Jeanne Videau, Chloé Lacan et marie-Charlotte Biais. (…/…) En jouant constamment sur deux registres, l’humour, avec les aventures épiques, quasi chevaleresques, du docteur François Tosquelles, et l’émotion, avec le destin tragique de la grand-mère du conteur, Frédéric Naud et Jeanne Videau parviennent à faire de ce spectacle un vibrant (et convaincant) plaidoyer en faveur d’une approche plus humaine, voire plus humaniste, de la folie et de son traitement. Ils illustrent ainsi parfaitement une phrase du célèbre psychiatre de Saint-Alban, qu’il prononçait avec son incomparable accent espagnol avec moult roulements de « r » : « Sans la reconnaissance de la valeur humaine de la folie, c’est l’homme même qui disparaît ».